[quote="louloubabar"]
BonsoirLe classement des médailles (un peu moins complet que la dernière fois, mais une grève de MiniHoltz explique celà)
Rang Pays Or Argent Bronze Total
1 Chine 35 13 13 61
2 États-Unis 19 21 25 65
3 Grande-Bretagne 11 6 8 25
4 Allemagne 9 6 6 21
5 Australie 8 10 11 29
6 Corée 8 9 5 22
7 Japon 8 5 7 20
8 Féd. de Russie 7 12 12 22
9 Italie 6 6 6 18
10 Ukraine 5 3 6 14
11 France 4 9 12 25
12 Roumanie 4 9 12 6
13 Espagne 3 2 1 6
14 Slovaquie 3 1 0 4
A noté le triplé historique de la Jamaîque au 100m féminin
Et surtout le record absolu de médaille en 1 seule olympiade pour le nageur américain Michael Phelps avec 9 médailles d'or qui bat le record de Spitz en 1972 à Munich (Munchen en Allemand...Où se déroule chaque année la célébre fête que vous connaissez tous, la bien nommée "fête de la bière"...Qui portent bien sont nom puisque des hectolitres sont consommé durant ce moment festif (certains bock contenant 3 litres de cette délicieuse boisson contenant je vous le rappelle une quantité non négligeable de levure de bière chèere à nous autres bodybuilders de tout poil...La bière je vous le rappelle (et merci Wikipédia poour çà) est une boisson alcoolisée obtenue par fermentation fabriquée à partir d’eau, de malt (orge germé et torréfié et/ou autres céréales) et de houblon.Remontant à l’Antiquité (Celtes, Égyptiens), elle reste une boisson très populaire à travers le monde.Des versions faiblement alcoolisées (moins de 2°) sont présentes sur le marché. Contrairement aux autres boissons « sans alcool », elles sont fabriquées par les mêmes procédés que la bière classique. La fabrication industrielle de la bière se déroule dans une brasserie
La fabrication de la bière a évolué à travers les âges. Ce que l’on considérait comme de la bière il y a 8 000 ans est sans aucun doute très éloigné de ce que nous connaissons aujourd’hui. Les « migrations » de ce breuvage à travers le Monde et le temps ont obligé les brasseurs à adapter le mode de fabrication en fonction des évolutions techniques et des matières premières disponibles. Ce qui n’était autrefois qu’une sorte de « bouillie » alcoolisée plus proche des aliments solides que des boissons, est devenu, notamment grâce aux progrès de la micro-biologie et des techniques industrielles au XIXe siècle, la boisson limpide que l’on connaît aujourd’hui. Les méthodes de fabrication actuelles sont cependant très proches de celles de ces derniers siècles ce qui dénote une normalisation dans le processus de fabrication.
Pour produire de la bière, il faut certaines matières premières qui vont être transformées tout au long du processus de fabrication. Il est nécessaire de disposer :
d’eau de très bonne qualité : l’eau constitue 80 à 90 % de la bière. Ses qualités sont donc très importantes, elles sont à l’origine de la clarté et du goût de la bière. Elle permet au malt et au houblon de libérer leurs sucres et leurs arômes ;
de malt (essentiellement d’orge mais également de froment pour la Weizenbier) ;
de houblon : il contient des acides — isohumulone et lupulone — qui stabilisent la bière et lui procurent son amertume, ainsi que des huiles essentielles qui enrichissent ses arômes.
D’autre part, on peut aussi utiliser :
des grains crus (non maltés mais cuits, notamment du froment pour la bière blanche et le lambic) ;
des épices telles que la coriandre, l’écorce d’orange, le chanvre, le miel…
Dans un verre, on trouve ainsi en moyenne :
35 cl d’eau ;
50 g d’orge ;
0,5 g de houblon ;
et une pincée de levure ou ferment
Voilà pour cette petite interlude dirons nous "gastronomique"
La suite au prochaine épisode
C' était Pierre Fulla en direct de Bejing
bonne nuit à vous, puisqu'ici, la journée commence...
Et oui, la distance qui sépare la France de Bejing crée ce qu'on appelle un décalage horaire: Le syndrome du décalage horaire est une condition physique particulière qui résulte d'un voyage rapide à travers plusieurs fuseaux horaires, généralement en avion. Un tel voyage décale effectivement les différentes horloges internes (rythme circadien ou cycles du sommeil) et l'activité extérieure (alternance jour/nuit, activité autour de nous).
Le décalage horaire maximal est de douze heures. En effet, traverser 14 fuseaux horaires vers l'Est revient (pour ce qui est du décalage) à n'en traverser que 10 ( = 24 - 14 ) vers l'Ouest.
Ce syndrome se traduit habituellement par une grande fatigue, des troubles du sommeil et un manque de concentration.
La mélatonine, une hormone produite par la glande pinéale, explique en partie ces troubles du sommeil. En temps normal, cette hormone est sécrétée la nuit uniquement (pic à 5 heures du matin) et est indispensable à la phase de sommeil. Lors d'un décalage horaire brutal, le rythme de sécrétion de la mélatonine met quelques jours avant de se recaler expliquant ainsi les troubles du sommeil observés (on ressent une grande fatigue lors du pic de mélatonine de la nuit fictive).
Il a été montré que la prise de mélatonine (en tant que médicament) avant le coucher lors d'un décalage horaire favorise l'endormissement et permet un recalage plus rapide.
L'adaptation au décalage horaire est plus facile lorsqu'on va vers l'Ouest (on suit le soleil et l'on s'endort facilement après une longue journée), que lorsque l'on va vers l'Est, où les troubles du décalage sont plus importants (courte journée ou nuit raccourcie).
Donc bonne nuit à vous, s'y vous ne dormiez pas encore